La Neuvième

La Neuvième de Bethoveen... comme cela fesait rire Klaus dans son fort intérieur. Cela fesait exactement Neuf victimes qu'il fesait... Il était à ce concert juste après s'être occupé de l'autre petite geignarde il pouvait maintenant apprécier la douceur de cette vie presque humaine. mais bon... Il prit place sur le siège où il devait s'asseoir. Il attendit d'autres convives... une salle d'opéra était toujours immense... et la tenture rouge rapellait au tueur la couleur du sang qu'il venait de voir couler... il n'avait aucunes odeurs qui pourrait le laisser suspecté... il s'attendait à qu'ELLE y soit.. ce ne pouvait être autres choses

Muriel entra dans le théatre gigantesque ou jouait l'orchestre. Elle donna son billet au préposé qui lui lanca un regard étrange puisque ce n'était pas habituel que quelqu'un vienne seul à une représentation.

Muriel regarda son billet pour voir le numéro de son banc elle le chercha longtemps à l'arrière et découvrit qu'il était vers le milieu-avant. Elle eu un petit sourire et alla s'assir. Depuis toutes les années qu'elle tuait elle savait reconnaître des personnes suspectes. C'est pourquoi en voyant l'homme assis à côter d'elle elle glissa sa main vers son couteau en sentant sa présence derrière le tissu, rassurée elle remit sa main sur un accoudoir et respira un peu mieux malgré la hâte du concert

Il posa un regard furtif surla demoiselle... ce n'était pas elle qu'il cherchait touefois, mais se pourrait être très interressant d'avoit une conversation avec elle. Il se retourna aux trois quarts et il lui sourit

-Bonsoir... Vous aimez Beethoven?

La musique du meurtre continuait dans sa tête et cela rendait le tout encore mieu et charmant. Il commencait à regardé dans l'esprit de la Dame et ce qu'il y voyait lui plaisait

-Vous faites quoi comme métier?

Il le savait très bien mais il voulait lui demandé tout de même

Muriel n'avait pas trop confiance en cet homme mais elle lui répondis tout de même

Beethoven est un virtuose de la musique, qui ne s'inclinerait pas devant ce talent? Je n'aie même pas l'audace de dire que je sais jouer quand j'entend ses oeuvres...

Elle se mordit la langue en entendant la deuxième question.

Je travaille pour mon propre compte en fait

Il sourit à la réaction de muriel et il la détailla du chausson au corsage... le visage était cependant Trop androgine c'était troublant... il eu le gout de lui poser la question mais il se ravisa seulement car la politesse lui empêchait... elle avait quelque chose de démoniaque. Oh mais il ne devait plus y penser... En fait oui! il devait penser à la joie dont il était transi. il regarda encore un peau ce beau visage. Il lui présenta la main

-Mon nom est Klaus, quel est le votre?

Elle hésita un moment en regardant la main tendue vers elle puis leva le regard vers son interlocuteur le-dit Klaus dans ses yeux il y avait une lueur qu'elle aimait plus ou moin. Mais pour le masquer elle lui serra la main et dit

Muriel... enchantée... Monsieur Klaus

Elle entendait les musiciens pratiquer leur intrument de l'autre côter de l'épais rideau signe que le spectacle allait bientôt commencer ce qu'elle esperait vivement autant pour la musique que pour écourter le plus vite cette conversation

Il sourit doucement et son regard s'attarda un instant sur le corps de la demoiselle. Quelque part elle Semblait trop étrange. Il se mit à rire pour masquer le malaise.

-Et bien je croit qu'il nous reste plus qu'à attendre le début du spectacle... et bien dame Muriel, Dite-moi pourquoi vous aimez tant Betthoveen, qu'est-ce qui vous attire dans sa musique?

Il la regarda encore pour en quelques sortes voir ce qui ce cachait dans l'esprit de cette Dame.

Elle se rassit droite en regardant l'avant de la scène. Elle observa les personnes s'assir au fur et à mesure

Beethoven était l'idole de ma grand-mère, il est devenu le mien quand elle à commencer à m'apprendre le piano avec ses oeuvres.

De plus Beethoven n'était pas comme tout les autres bourgeois de son temps. Eux passait leur temps sur leur apparence avec des perruques ety des poudres. Lui il avait d'yeux que pour sont art, un pianiste de talent et un compositeur hors-pair. C'est pourquoi il mérite l'adoration que l'ont lui porte. Bien sûr que la plus part des personnes ici ne viennent que pour bien paraitre mais d'autres comme moi viennent pour apprécier son oeuvre...

Et bien voilà elle détournait les questions... peut-être qu'il devait être plus direct dans ses questions. Les humains ne s'arrêtait jamais à la subtilité des questions avec trop de sens. Ce n'était pas grave au moin la discution était engagé et les deux protagonistes était très bien défini

-Enfin je ne croit pas être la personne qui doit vous parler ainsi car finalement pour vous je ne suis qu'un inconnu... en fin que sais-je? Peut-être qu'au fond vous attendez quelqu'un...

Il réfléchit deux secondes

-Qui est l'homme qui vous a invité ici? viendra-t-il?

L'image d'Oliver lui vint à l'esprit. Elle ferma aussitôt les yeux pour chasser son visage.

L'homme qui m'a invitée ne viendra pas, il est occupé avec une personne disont plus importante que moi. Il m'a donner ce billet parcequ'il savait que j'aimait Beethoven tout simplement...

Il eu soudainement un air triste sur son visage penché

Une larme apparu à l'encoignure de son oeil. Démons et vampires avaient cette particularité: Ils ressentaient leurs émotions presqu'en triple... Et l'histoire de la jeune femme la touchait particulièrement. Il renifla et il essuya ses yeux avec le coin d'un mouchoir.

-C'est triste...Constata-t-il

Il regarda le ciel en faisant papillonner ses yeux... en même temps il réfléchissait.

-Vous savez... Voius comptez peut-être plus pour lui que vous ne le soupconnez... Je connais la nature huamine... Celà fait longtemps que j'ai découvert ce qu'était être un humain... pourtant il ne m'en reste pas long. Peut-être étions nous fait pour nous rencontrez! mais bon... je sais que je me trompe. Même après sa mort on continue de fêtez la joie de Beethoven... avec nostalgie et tristesse de l'avoir perdu... Ne laissez pas cette impression dans le coeur de celui qui vous aime et que vous aimez surement aussi

Il ferma les yeux puis il les réouvrit

-Je sais que j'ai raison... cette chaleur que vous ressentez en pensant à lui ne vient pas de nul part...

Il soupira. Il jeta son regard profond sur Muriel pour tentez de lui faire comprendre son point de vue

Elle regarda bizarrement cet homme. Même en éprouvant des soupçons pour lui ses mots lui faisait du bien. Mais il ne savait pourtant pas que l'autre personne plus importante était une autre femme...

Du coin de l'oeil elle vit le rideau s'ouvrit sous le silence des auditeurs et la lumière baissante. Elle reporta son regard sur la scène se trouvant stupide de se confier à un inconnu.

Un homme sur scène, qui devait être le chef d'orchestre, fit un discour.

Muriel jetta un regard à l'homme et lui offrit un petit sourire pour le remercier et pour remplacer la réponse qu'elle ne lui avait pas donner

Il lui renvoya son sourire qu'il esaye de le faire le plus gentil possible. Après le discours du petit monsieur il Applaudit respetueusement accompagné par la foule qui acclamait plus l'oeuvre que ceux qui était sur la scène. Le premier mouvement commenca et dès les quelques premières mesures la foule fut subjugué... c'était normal ce n'était que des amateurs qui était dans la salle. Ensuite le mouvement arrêta et on applaudit. Klaus glissa cette question à l'endroit de Muriel

-Quel est son nom?

Elle regarda les musicien longement.En applaudissant lui répondit:.

Bien que je me sois confiée à vous un instant je ne vous donnerait pas son nom pour rien au monde. J'en aie honte moi-même...

Elle soupirant pendant que le chef d'orchestre lanca les premières notes au musiciens.

Muriel se laissa transportée encore une fois par la musique. Elle ferma doucement les yeux se sentant en paix et en oubliant tout ses problèmes

Il ria un peu pendant que la première mesure passait et il chuchota à son ''hôte'' ceci:

-Un nom ce n'est pas grand chose... je ne le tuerait pas quand même!!

Puis il écouta le mouvement avec délectation car enfin de compte il était là pour ca. Il la trouvait intriguante, certe, mais terriblement faible quelque part dans son coeur. il se disait que pour quelqu'un à l'aspect aussi austère elle avait des secrets trop profond et trop douloureux pour qu'il n'y portâsses quelconque attentions. Après tout, il n'était pas son père... pourtant il était curieux. Les notes le percuttait sans mêmes qu'il n'y portâsses aucuns regards... elle était trop mystérieuse...

Elle soupira et jeta un subtil regard en billais à Klaus et dit tout bas en ramenant son regard vers les musiciens

Quoi qu'il en soit il ne vous servirais à rien... alors restons-en là voulez-vous?

Elle tendis l'oreille pour écouter la douce mélodie de "Od an Die Freude"; l'Hymne à la Joie

Voilà on y était enfin... l'apothéose de ces 67 minutes de purs plaisirs jouisif au moin les humains avaient créer la musique pour combler leurs défaillances et leurs violence mutuelle. Le démon s'en réjoui et il l'écouta avec ravissement en passant à cmment la vie de la dame a côté d'elle pouvait avoir une vie malheureuse... Ce n'était pas dans son genre pourtant de s'inquièté du sort d'une femme. Habituellement il s'en foutait. Mais elle lui ressemblait trop. Et puis, tout de suite après le concert il ne la revèrait plus jamais. Il se concentra sur les notes mais rien n'y fesait... En fait,la musique le dérangeait... Il ressentait du remord peut-être? Il venait peut-être de tuer une personne qui lui ressemblait sa seule porte de sorit vers la salvation... il eut des haut-le-coeur et des spasmes... Il devenait pire il devait retrouver Carole c'était urgent!

Lorsque que les musiciens firent leur dernière note de la soirée une nuée d'applaudissements se déversa dans la foule. Muriel le fit elle-même mais avec moin d'entrain. Même si elle avait adoré,sinon plus, de spectacle elle n'était pas du genre à des sautes d'entousiasmes.

Elle regarda sont voisin de banc Klaus. Il semblait aller mal, au premier elle ne s'en occupant pas puisque pour elle la vie d'un total inconu ne l'interessait pas. Mais voyant les gens autour et les soupçons qui pourrais être portés sur elle, elle préfèra aider Klaus à sortir de la salle. Elle alla l'installer sur un banc qui était installer là pour que les gens viennent s'y assoir durant les entractes.

Elle lui dit d'une voix qui ne montrait pas plus d'émotions qu'elle avait envie de montrer, c'est-à-dire par beaucoup:

Vous allez bien?

Il la regarda puis il lui sourit très humblement et il s'assit d'une manière plus posé. Il la regarda puis une pensée très fugitive traversa l'esprit de Klaus: <<Qu'elle effet ca lui feait si je la découpe peut-être serait-elle moin froide!>> Puis il se frappa la tête avec son poing. I regarda encore une fois muriel

-Tout va bien!Il se releva d'un bon c'était un très bon spectale... Mais surement est-ce meilleur lorsque c'était lui qui dirigeait ses pièces... Je vous raccompagne chez vous?

Il lui tendit son bras replié... comme un valet de pied le ferait pour une serviette

Elle recula d'un pas en le voyant se relever soudainement. Et lui répondit calment quoique qu'en trébuchant sur ses mots

N...non merci je suis capable d'y aller seule.

Elle regarda les autres personnes sortit en bouchon dehors puis elle ramena sont regard vers Klaus

C'est plutôt vous qui devriez vous faire escorté...

Il la regarda directement dans les yeux avec son regard percant. Pendant un momment il réfléchit au son qu'elle pourrait faire en lui plantant son couteau dans la gorge mais il chassa rapidement cette idée aussi non-humaine au plus profond de son être et il se ressaisit et il insista

-Madame ne savez vous point que c'est l'homme qui doit raccompagné et que c'est le rôle de la femme que d'accepter avec un sourire... mais moi je ne vous en demande pas autant. Dites-moi oui et je serait la personne la plus heureuse du monde!

Il lui sourit presque tendrement

Muriel commencait à être irritée de l'incistance de l'homme face à la demande de raccompagnement. Elle n'avait qu'une envie de rentrer et d'enlever cette robe qui lui enlevais de la liberté de mouvement.

Je ne vous connait pas pourquoi me laisserais-je racompagnée par un homme qui ne connait rien non plus de moi?

Elle fit une pause et reprit:

Et sachez que vous n'avez pas à faire aux dames que vous avez l'habitude de cotoyer Monsieur Klaus...

Il partit avec nonchalance et un petit sourire en coin

-Je n'insiste pas... je part à dieu peut-être!!!

Puis il se mit à rire... Toutefois il était décu mais personne ne saurait jamais pour qui ni pourquoi

--> La taverne

Muriel regarda Klaus partir, elle secoua la tête et s'en alla à son tour soulagée de ne plus avoir à le revoir et en se voyant déjà dans son appartement à se débarasser de cette robe.

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