Incrusté dans les pattes de Katrina

Péniblement il Entra avec ses appendices de marches jusque dans le café... sa rencontre avec Oliver avait été rude et il s'en fesait pour le destin de la ville... lui seul serais trop faible pour tout mettre en oeuvre... Il avait besoin d'un café et instinctivement il s'était rendu dans le Katrina's Café et il commandais déjà un café

-Je veut un triple esspresso c'est urgent

S'aasit péniblement à une tableet il attendit que l'on vienne lui servire sa commande.. il prit une copie du London times en trépignant de rage en repenssant à la manière dont il avait été renvoyé sa le frustrait horriblement... Il la lut puis il la posa sur sa table en attendant toujours sa commande

Katrina soupira et lui fit un expresso. Elle fixa Alfons en roulan les yeux et dit:

-Je vais aller le servir ...

Elle ramassa le café et le déposa sur la table de Olivier. Elle dit d'une voix gentille qu'elle prenait pour tout ces clients, mais dans le cas d'Olivier elle se forçait. :

-Est-ce que je peux vous servir autre chose?

Elle attendit sa réponse patiement.

-Non merci vous êtes déjà très gentille de venir me voir jusqu'ici... en fait je suis découragé Vous savez qui je veins de rencontrer? Il fit une pause J'ai vu votre frère et ce qu'il ma dit était plutot décourageant... En fait, Si l'on pouvait s'unir on pourrait faire de grandes choses mais il refusent toutes aides...

Il prit un toute petite gorgé en fesant bien du bruit por rien avec sa bouche... Il reposa la petite tasse et il Se mit à jurer en francais

-Dame Katrina.. n'avez-vous pas peur de l'endroit où s'en va le monde? n'avez-vous pas peur se ce qui adviendra? j'ai peur au lendemain et vous ne pouvez pas nier que vous aussi vous avez peur...

Elle haussa les épaules et dit d'un air désinterressé:

-J'ai peur pour mon frère, ceux que j'aime, mon café. Mais certainement pas du sort du monde ... Vous devriez vous souciez de votre propre existence avant de vouloir changer les dessein du monde.

Elle lui lança un regard et dit amusée:

-Oliver est un solitaire ... et puis vous n'êtes pas telement placé pour l'aider ... Si je peux dire ...

Elle faisait allusion à ses béquilles.

Il fit un visage désespéré

-J'ai l'air si faible que ca? Mon dieu je ne suis pas sortit de l'auberge l'infirmière mas dit que j'en avais encore pour trois semaines!! Mais bon je ne vais aps abusé de votre temps je dois retourné chez moi... aurevoir...

Il reprit ses supports métallique pour la marche et il se remit à marcher à chaque pas il Poussait un petit soupirs de douleurs et de résignation... Son pas de marche était décrivable comme ceci: Une tortue turbo marchant sur des échasses... il sortit du café et il retourna chez lui

les appartements