Olivier sortit de l'immeuble

*Olivier sorit dans la rue... c'est pensé n'était pas jolies à voir... il avait une mission... mais qui pourrait l'aider? Son regard ce possa sur Big ben qui indiquait maintenat 1h du matin... d'habitude des transactions de ce genre ce faisait à minuit... son pas avenant était calme mais nerveux*

-Si seulement je pourrais le tuer ce salopard...

*ceux qui ont suivit la discutions dans l'apartement de Oliver savaient de qui Olivier parlait... mais au fond, la mort serait trop libératrice pour Oliver... il avait besoin d'un professionel... ou une professionelle... d'ailleurs... c'est recherche lui avait mentionné un nom. Ce nom muriel, il n'Était sur de rien mais, il se devait de tenter le coup. Une question restait ou la trouver?*

*remarquant la beauté surréaliste de la femme qui passait devant lui il s'arrêta... quelques econdes destupeur plus tard il se rendit compte de la chance qu'il avait... il devait la saisir et arrêté de s'en faire pour une simple question de réputation!*

-Dame? dit-il fort pour qu'elle l'entende, ne rester psa seule attendez.

*il avait parlé sur un ton courtois pour ne pas éffarouché la belle, mais sa voix trahissait quelques sous-entendu pas trop déplaisant pour l'oreille attentive. il se repprocha d'un pas de jogging athletique*

Elle s'arrêtat de marcher pour voir qui l'avait interpellée. Restant surprise de voir quelqu'un lui parler et surtout a cette heure ou il était rare de voir des personnes se promener

Oui?... Que voulez-vous?

Elle resta sur ses gardes ne faisant, comme toujours, confiance a personne

*en quelques sorte Olivier déduisit un peu les inquiètudes de la jeune femme*

- Ne soyez pas si craintive... Well, you see, when I look to something very special I cant imagine myself without it! (bien, vous voyez, quand je vois une chose vraiment spéciale je ne peut pas m'imaginer sans elle!)

*Il passa près de la dame sans toutefois la toucher et il s'arrêta sur son profile*

-Même d'ici vous êtes unique! et vos yeux son magnifique... mais pourtant triste. Qu'est-ce qui vous effraie? la mort... je ne vous tuerait pas avec cette épée

*il lacha son épée et elle tomba lourdement sur le dallage mouillé par la brume fraiche omniprésente aux rues de la ville*

Elle ne bouga pas mais le suivit du regard

Les compliments me laissent de glace, depuis longtemps j'ai appris a ne pas m'y fiée et les personnes d'où viennent ces même compliments aussi. Vous avez beau ne pas être armé je sait pertinement que tout peux être une arme alors si vous avez a me dire une chose veuillez ne pas éterniser et en venir au fait...

*Olivier est un petit mouvement de recul, il fut surpris de l'applomb de la femme en cette époque d'inhibitions*

-je ne voulait pas vous éffarouché... voyez mon altercation comme une forme de promesse... si nous allions boire un peu de vin... un bordeau 1881 sa vous dit (on est on 1888) c'est une très bonne bouteille... les vignobles étaient superbes! la récolte fut Excellente! je vous invite... nous discuterons... vous acceptez?

Je croit que vous vous doutez bien de ma réponse alors pourquoi insister vous? Votre comportement devient ennuyant et louche, et ce qui est louche a mes yeux ne le reste pas toujours puisqu'il finit toujours six pieds sous-terre...

*Olivier releva un sourcil... une idée bizzare traversa son esprit*

-vous êtes mon genre de femme Cependant... je crois devoir vous demander une choses... disons dans vos cordes... j'aurai un travil pour vous... nous en parlerons devant un bordeau chez moi? voulez-vous?

Un travail ça me va, un bordau non et encore moin chez vous je déciderait de l'endroit si vous tennez tant que ça a vouloir m'employer...

Elle s'éloigna de quelques pas

C'est mon dernier mot...

*sa figure se transfigura de désepoir*

-Un autre cépage peut-être? un Merlot peut-être... et dans un restaurant ? j'en connais un très coquet au centre-ville la propriétaire est charmente je vous inviet vou ne pouvez pas refusé... se sera sans lendemain se sera un dinner d'affaire... allez ce sera purrement platonnique?

*il n'était pas désespéré mais amoureux... et cette l'intriguait... mystérieuse et blessé au fond de son âme... une force de caractère impropre aux femmes de son époque... un fougue il devenais de plus en plus charmé*

Elle lui jeta un regard par dessus son épaule puis le voyant presque la supplier elle roula les yeux puis un minuscule sourire franchit ses lèvres

Va pour le restaurant alors... mais je vous prévient qu'au premier truc suspect vous en payerai de votre vie sans possibilité de retour en arrière compris?

*Il souria*

-C'est tout naturel voyons!

*il se rapprocha sans toutefois la toucher pour ne pas lui faire peur il était pourtant affectueux il la mena a travers les brumes de la ville*

Katrina's café