Entraînement avec Alfons

Oliver et Alfons arrivèrent sur le terrain vague près du port. Le policier observe autour de lui pour être certain que personne ne pourrait être blessé. Il installa rapidement quelques petite cibles assez loin d'Alfons pour le pratiquer à utiliser les armes. Il revint se placer près de lui et dit:

-Nous allons commencer par les fusils ... Tu t'es déja servi d'une arme?

Il se doutait un peu de la réponse mais il le demandait tout de même.

Alfons observa Oliver installer les cibles. Son coeur battait de plus en plus fort: la séance de tir arriverait bientôt et cela le stressait un peu.

- N.. non... jamais...

Il se demandait alors s'il avait bien fait de vouloir occuper le poste de policier. Pense à maman: c'est pour elle que tu es ici. Il reprit un peu plus confiance sur ses pensées.

Il remarqua le stress d'Alfons et dit en se raprochant de lui avec son arme:

-Il n'y a aucun danger ... Et si c'est le fait que ça te dégoute de devoir tuer des gens avec ça ... Tu n'as pas à t'inquieter, car je n'avais aucunement l'intention de te faire tuer.

Il fit une pause te poursuivit en disant:

-Je ne tue pas moi même, ... Disons que c'est une protection, que si il y a une situation ou tu es mit en danger, tu dois pouvoir te défendre, sans necessairement tuer ton agresseur. Tu comprends?

Il leva son arme dans les air et visa la cible, Mais il détourna légèrement son fusil et tirra, il n'avait pas visé le milieux mais un coté de la cible:

-Tu dois simplement être capable de viser ou tu veux, souvent une simple balle des les épaules peut te sauver la vie.

Il lui tendit une arme et dit:

-Essaye, et prends ton temps, je ne suis pas pressé.

Alfons fut impressionné par la démonstration d'Oliver.

- Ah, je comprends.

Il prit l'arme que le policier llui tendait. Il la contempla un petit moment. Il fit un sourire gêné à Oliver.

- Euhm... il y a une façon spécifique pour la tenir?

Il ce plaça près d'Alfons, Il lui plaça doucement l'arme dans les main et la lui plaça comme il le falait. Il le fit pointer directement sur l'arme et lui dit:

-À 3 nous allons tirer daccord ... 1 ... 2 ... et 3

Et il aida Alfons à tirer, La balle toucha sa cible. Oliver lacha larme et dit:

-Et bien voila! C'est pas plus compliqué que ça ...

Il regarda autour de lui, ayant une nouvelle idée en tête. Il fixa Alfons et dit:

-Je dois essayer de trouver quelque chose pour l'entrainement ... Mais toi je veux que tu te pratique. Essaye de tirer, Tu as du temps puisque je dois trouver quelque chose, mais je veux que tu ai tiré une balle avant mon retour!

Il lança un regard convainquant à Alfons et disparu en direction des Ruelles, .

Lorsqu'il regarda où la balle avait atteint la cible, Alfons recentit une sorte de fièreté. Mais elle s'arrêta là: ce n'était pas lui qui avait tiré, mais bien Oliver: lui n'avait que tenu l'arme et suivit les gestes du policier.

- Oui, je ferais de mon mieux.

Il regarda Oliver se diriger vers les ruelles puis son regard revint vers les cibles qu'il devait atteindre. Il se gonfla d'énergie positive et se replaca comme Oliver lui avait montré. Il essaya de viser une place précise de la cible et fit le décompte à voix basse. Un, deux.... trois! Son doigt pressa la gachette et le coup partit: la balle n'avait même pas touchée la cible. Alfons fut tout de même déçu, mais ne perdit pas espoir. Avec un peu d'entraînement, il allait y arriver.

Le policier revint lentement vers Alfons. Il boitait beaucoups et saignait à divers endroit, disons qu'il était plus mal en point que lorsqu'il l'avait quitté. Il dit d'un air faussement enjoué:

-...Je vais remettre l'entrainement à plus tard si tu me le permets ... J'ai eu, disons, un imprévu.

Il ramassa son fusil, se maudisant de ne pas l'avoir eu avec lui.

Alfons regarda Oliver.

- Co... coment?

Il faisait allusion aux blessures du policier, évidement. Il fit un pas vers lui, pas trop sûr.

- Vous avez besoin d'aide?

Il secoua négativement la tête et dit:

-N ... non mais je dois partir immédiatement ... Dès que je le pourrais nous reprendrons votre entrainement.

Il lui fit un mince sourire et dit:

-Entre temps si vous avez besoin d'argent, ma soeut peut certainement vous trouvez quelque chose à faire dans son café, elle est toujours débordée ...

Il se mit en marche vers son appartement, n'attendant même pas la réponse d,Alfons, Il devait se faire un bandage pour ses cotes si il voulait guérir.

Suite appartement d'Oliver et Katrina.

Alfons regarda Oliver s'éloigner sans rein dire. Il était plutôt déçu. Il regarda en direction des cibles qu'il avait essayé de toucher d'une balle de fusil.

De toute façon, ce métier n'est pas fait pour moi. Je devrais m'y faire tout de suite.

Il se rendit compte qu'Oliver n'avait pas repris l'arme qu'il lui avait prêté pour la scéance de tir. Il la regarda un moment, alors que les rayons du soleil couchant faisait reluire son revêtement argenté. Il mit le cran de sécurité, enfin, c'est ce qu'il coyait l'être, et placa l'arme après sa ceinture, tel dans un étuit prévu pour cela. Il mit sa veste par dessus, pour la cacher. Il regarda une dernière fois les cibles et partit en direction de son appartement, les mains dans les poches, le regard bas.