Le petit appartement miteux de Olivier

-ben j'avais rien a faire et en passant j'ai vu quelqu'un de louche sortir de l'appartement....alors j'ai voulu vérifier si y'avais pas eu un meutre.....

*Olivier se mit à rire jaune, il devint livide*

-un...un meu..meurtre vous dites?

*il rit un peu nerveusement*

-le... le meurtre? euh, je veut dire, il n'y a pas eu de meurtre ici...

*il déglutit avec difficulté*

-euh, je vous sert du vin?

trouve qu'il agit bizarrement
-heu...oui pourquoi pas...mais vous êtes sure que vous allez bien???

*Olivier soupira*

-je vais très bien... mais bon, je vous sert quelques chose?

//le regarde bizarment//
-heu...oui je vais prendre le verre de vin que vous m'avez proposé....si cela ne vous dérange pas....mais j'ai une question...
//s'assie sur le divant//
-qui étais la personne que j'ai vu sortir tout a l'heure....je ne veux pas me mêler de votre vie priver mais j'aimerais bien savoir sa m'intrigue?
//elle le suplia du regard de répondre a sa question//
-s'il vous plait...

*il la regarda avec compassion*

-un ancien amour... qui c'est transformé en destructrice de rêves, je viens de faire la pire bêtises de ma vie...

*il se retourna et il fouilla dans son cellier*

-vous voulez quoi? Merlot? chateau-aubriand? bordeaux?Cabernet-sauvignon? qu'est-ce qui vous plaierait?

*puis Olivier eut un soudain flash... il devait se rendre chez le maire pour l'espionné... son travail l'y obligeait... surtout que sa fesait une éternité qu'il n'avait psa rammenre d'article Au london post... son patron ne serait pas fier*

-Mademoiselle... je doit partir... si vous voulez m'attendre ici... se ne sera pas long...

*il prit manteau, calepin et crayn puis il partit direction mairie*

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Jugeant qu'il etait plus subtil d'utiliser une seconde fois la fenetre que de passer par l'interieur pour rejoindre l'appartement de Olivier, surtout avec ce dernier en travers des epaules!

Au lieu de briser la fenetre comme elle l'avait fait pour celle du maire, elle crocheta seulement le cadre et entra.

L'entreprise fut un peu plus difficile qu'elle ne l'avait penser..... la fenetre de Olivier etait sataniquement petite!!!

Carole fini tout de meme par le coucher sur son divan.... par peine de chercher son lit, elle avait opter pour une surface confortable qu'elle connaissait deja l'emplacement.
Elle tourna en rond, se posant des questions sur ce qu'elle venait de faire et ce qu'elle devait faire pour l'eveiller.... Elle n'avait jamais eu l'ame d'une infirmiere!!

La vampire sourit... Elle couru a la cuisine, rempli un verre d'eau, puis retournant en vitesse au salon, elle le vida sur le visage de Olivier.
Toute heureuse de son idee et de son aide, elle attendit le resultat avec un grand sourire!

*le verre d'eau réanima un peu Olivier qui avait l'estomac completement retourné de toute ses aventures. Mais il se savait encore en danger à cause de Carole... pourtant son visage si blanc et si éthéré ne semblait pas plain de malice. Olivier comprit que les vampires étaient trop compliqué pour lui. Il se leva en dificulté complètement trempé*

-Oh par Jésus le christ... OH!! pardon carole... je voulais pas...

*puis il remarqua que le saint nom du christ ne fesait pas reculer la vampiresse et il en fut très troublé... à un tel point qu'il tomba sur le sol*

-V...Vous... VOOOUUUS?

*mais les mots lui manquaient*

Carole fronca les sourcils...
Son sourire s'effaca; se n'etait certe pas la reaction qu'elle s'attendait!!!

Elle s'avanca apres un moment et remit Olivier de gree ou de force sur le divan.

"Vous avez besoin de repos.... le divan est plus confortable pour vou y allonger."

".... Qui pensiez-vous que c'etait??"
La vampire ne comprenait visiblement pas pourquoi Olivier s'exclamait de la voir.

*Olivier se mit à rire un peu*

-Non ce n'est pas vous le problème c'est que je craiganit que vous vous évaporiez ou quelque chose du genre puisque j'ai prononcé le nom du très haut. Cepndant je m'en excuse.

*il regarda la Vampire. Son visage poli comme le marbre était si beau à voir comme une apparition angélique et divine. Ses traits soulignés par la lumière de l'appartement fesait presque rougir olivier... il avait voulue se protéger d'elle... maintenant il accepterais sont chatiment... tout ce qu'il lui avait fait ne pouvais ne pas être passé comme du beurre dans la poèle avec cette surnaturelle personnes*

-Je suis désolé... dit-il en lui montrant le cou juste pour faire ressortir sa veine... après elle devait le tuer.

"Vous n'avez aucunement besoin de vous excusez... les noms bibliques n'ont aucuns effet sur moi! Ils n'ont d'ailleurs meme pas effet sur les humains alors...."

Elle s'interrompit, a le voir, ce n'etait certepas le temps de commencer un discourt sur l'inutiliter de l'Eglise.

Elle le regarda longuement et interrogativement dans cette posture etrange qui faisait ressortir sa veine principale et lui donnait atrocement faim. Toutefois, y sucomber serait plus de la gourmandise que d'autre chose.

"Pourquoi vous excusez-vous inlassablement? Et pourquoi me montrez-vous votre cou?!"

Sa voix surnaturellement douce exigait une reponse directe.

il resta un peu surprit du ton de son ''hôte''

-je c'est que... vous ne savez donc pas que...? raclements de gorge que c'est moi qui avait...disons... commandé... mu...muriel?

il détourna son visage du regard de Carole redoutant un peu que ce visage ne puisse devenir trop haineux et son instinct de survit entrait dans son comportement... Olivier se leva d'un bond du divan mais retomba de faiblesses il était trop secoué par les évèments de la soirée

-je.. ne me.. tuez pas... pitier?

A mesure qu'elle comprenait ce que cela impliquait pour sa survie, le doux et compatisant visage de Carole se metamorposa. Sa peau devint plus blanche, ses yeux et ses levres plus rouge que la couleur du sang.

"PITIEZ... avez-vous eu seulement de la pitier ou du respect a mon egards!!! SALAUD!!! TRAITRE!!! Je vous ai sauver la vie!!!"
D'un coup de pied, elle envoya promener le divan.

Elle ne lui avait rien fait et il avait voulu sa mort... maintenant qu'elle etait vivante.. il detruirait sa vie qu'elle avait lentement fait ressembler a celle des humains. Il detruirait son reve!! Elle serait obliger de revivre dans les egouts et les cimetieres!!!

Seulement la mort du journaliste la delivrerait!!

Elle se precipita sur lui et le delivra du divan qui le recouvrait.

"POURQUOI POURRITURE DE DIEU!!???"

*il avait mal mais la douleur n'avait plus de signification pour lui... au moins il serrait délivré du poids lourds qui endolorissait son coeur... comme la neige qui tombe sur la terre pour enterré le mal qu'il avait fait*

-Parce-que... je vous aime... mais... j'ai aussi les humains... je suis désolé... je peut vous promettre que je ne parlerais pas de ceci dans quoique ce soit... je le garderais pour moi... à jamais dans mon coeur qui s'éteindras... dans 100 ans je ne serais plus et vous vous m'aurez déjà oublier! vous voyez l'injustice? Dieu ma trahi... sa veut dire... qu'il n'éxiste pas... d'ailleurs je ne devrais pas existé... je vous dit: à jamais dans votre coeur

*il rampa péniblement jusqu'à la fenêtre et il s'y lanca... peut-être le balcon de son voisin du dessous l'empècherait de mourir? il s'en foutait à présent*

-FAREWELL DARKEST LADY OF MY HEART!! LET YOUR LIFE BE WITHOUT ANY SOOROW OF ME!! (aurevoir Dame ténébreuse de mon coeur!! puisse votre vie être sans aucuns regrets de moi) I'M DYING NOW!! (je meurt maintenant)

*puis il eut un son affreux des craquements et des cris... Olivier était mort... mais qui pourrait vraiment le dire?*

Carole fit une grimace de degout melanger de haine.

*Encore ce maudit amour!! Il ne doit pas etre vrai ni sain, si par amour il a voulu m'eliminer!!!*

Elle leva le point dans le but de fracasser le crane de ce salop d'amoureux, mais avec horreur, elle le vit ramper et disparaitre par la fenetre!

"Cest cela va en ENFER, DECHET!!!"

Curieuse et souciante a la fois de la voir rellement mort, la vampire se pancha a la fenetre et epia un long moment ce qui se passait sur le balcon du voisin.
Quelques instant plus tard, olivier disparut et carole croisa le regard d'une femme qui ne lui etait pas entierement etrangere...
Irriter, elle monta sur la rembarde et sauta en bas.

suite a l'appartement d'oliver et katrina.

En se trainant avec des béquilles il remonta les marches abrupte de son anti-chambre de la mort. Il revenait dans son appartement où il avait tant souffert... il revoyait presque les images dans sa tête une note sur sa table avait été laissé. C,était son patron qui écrivait noir sur blanc: <<T'es viré p'tit con!>> en francais en plus pour être sur qu'il le comprenne. Olivier en fut attristé mais en même temps son esprit n'était pas tout à lui pour bien en décortiqué toutes les bribes... Que c'était-il passé à Londres depuis son accident... non, que c'était-il passé à Londres depuis sa tentative de suicide? Olivier n'osait pas trop y pensé en ce disant qu'il le saurais bien assez tôt... Il devait ce retrouver un autre travail... Que pourrait-il bien être? Il ne connaissait pas grand choses à par les lettres et l'escrime... Ô et sans oublié le vin... malheureusement il n'y avait aucun emploi qui combinait les trois... Dieu l'avait abandonner et Dieu l'avait handicapé. Mais sa jambe guérirait bien vite. Il s'assit dans un futon et il prit trois grands bols d'airs... il avait faim. Mais son frigidaire était vide... et il le resterait...

-(en francais) Putain de merde de saloperie d'enculé de ta mêre! je fais quoi maintenant nom de dieu!

Ses brochures hedomadaire du London times repossait comme des cadavres sur le parquet. il se saisit de la plus récente et il y lit: <<Les traitres parmis la police... un polliticiens à été abattu sauvagement>> Celà lui mit la puce à l'oreille... peut-être pourrait-il combattre le crime?
Il y réfléchit et il se dit que non... il se mit à soupirer et il fixa le plafond... son grade-manger était vide

Katrina montait les escaliers pour se rendre à son appartement, lorsqu'elle vit que la porte de celui de Olivier ...

"Le journaliste pervers" se dit -elle.

Était ouvert, curieuse, elle avança jusqu'à l'appartement et cocgna doucement, elle dit d'une petite voix, pour ne pas paraitre stupide si il y avait personne:

-Est-ce qu'il y a quelq'un? ... Olivier, Vous êtes là?

Elle ne le connaissait pas vraiment, elle ne l'avait vu qu'une fois ou deux, elle était même surprise de se souvenir de son nom. Elle attendit que quelqu'un, ou que personne ne lui réponde ...

Sa voie médiocre et faible, quoique encore se voulant très suave et très francaise, retentit de derrière la porte

-Enter it's open... whoever you might be... (entrez c'est ouvert... peut importe qui vous êtes)il ajouta en francais... j'en ai soupé moi des femmes!

Attendit un peu à contre-coeur car il ne voulait pas trop avoir de visite... il ne pourrait pas être aussi courtoit que d'habitude et celà l'exaspérait

La jeune femme entra lentement dans l'appartement. Lorsqu'elle arriva près du journaliste, elle le détailla de la tête au pied et dit d'une voix neutre:

-Vous êtes dans un état déplorable Monsieur Olivier ...

Elle s'approcha de lui et dit:

-Que vous est t-il donc arrivé?

Elle n'était pas telement interessée par le sort de l'ancien journaliste, mais elle était curieuse et elle voulait savoir qui lui avait fait cela.

Il se retourna un peu la tête et il se souvint de Katrina la soeur de l'autre imbécile

-Oh... well, Je me suis fait ca moi-même... disont que je me suis envoyé du bas de mon balcon jusque sur le votre pour échappé au courroux térribles d'une démones en furie... Je suis allé à l'hopital où l'infirmière me martyrisait à coup d'alcool isopropylique... et en revenant ici la première que je découvre est la perte de mon emploi... Sinon tout est bien dans le meilleur des mondes... Comment allez-vous? et comment va... votre... frère?

Elle resta surprise face à l'explication d'Olivier, mais répondit d'un air désinvolte:

-Je vais mieux que vous ... c'est certain, pour ce qui est d'Oliver, je ne pourrais pas dire, voila un certain temps que je ne l'ai pas revu ...

Elle ne voulait pas entrer dans les détails, puisqu'elle trouvait le journaliste assez étrange ... elle demanda:

-De qui donc vous échappiez vous?

Elle se doutait un peu de la réponse, mais elle voulait tout de même être certaine.

Il hésita quelques secondes... puis il lacha le morceau

-Je fuyais Carole car j'en avait peur et que je l'aimait... mais ma satané peur fut plus forte!! Je voulais mourir! comprennez-vous? MOURIR!

Il enfonca son visage dans le creux de ses paumes et il se le frotta.

-J'ai besoin de votre frère c'est urgent... il y a une chose que je dois lui demandé... je peut le retrouver à votre maison?

Il espèrait qu'elle lui dise oui mais quelque part (et il ne savait pas pourquoi) il savait que quelque chose était arrivé à olivier

-Votre frère... est... mort...?

Elle arqua les sourcils, surprise et dit d'un air étonnée:

-...Non il n'est pas mort .. Par contre je ne sais pas ou il est, je reviens de Plymouth, je ne suis même pas encore passé à mon appartement.

Elle se retint de lui parler des mésaventures de Oliver avec les "anges" puisqu'elle ne connaissait pas toute l'histoire et ne savait pas ou il en était rendu, elle se dit que si Oliver voulait lui en parler, il le ferait lui-même.

-Que voulez-vous demander à Oliver, je peux peut-être vous aider ...

-En fait... En fait... je voulais simplement discuter...

Il se rassit dans son futon pour essayer d'être un tantinet plus confortable. Il essaya de se relever celà prit un effort concidérable pour finalement être capable de ce relever avec ses béquilles et ce rendre tout près de Katrina. Il s'arrêta et il fini par soufflé devant autant d'efforts et de sueur.

-Je voulais lui demandé... lui demandé un service... mais bon je sais qu'il ne pourra pas puisque vous dites qu'il est absent... où puis-je le trouvé?

Elle haussa les épaules et dit:

-Je n'en sais rien ... Je ne sais absolument pas ou il est ...

C'était vrai, elle ne le savait pas, mais elle n'avait pas envie d'avoir Olivier dans les jambes également. Elle dit:

-Lorsque je l'aurais trouvé , je n'aurais qu'a l'envoyer vous voir ... sa marche?

Elle voulait partir maintenant, lasse de cette conversation.